Le monde étant en perpétuelle avancée, l’IA ou Intelligence Artificielle fait partie intégrante de l’évolution et donc du monde. La science cherchant toujours à surpasser les problèmes que rencontre l’humanité, en est parvenue à l’adoption, depuis quelques années, de l’IA comme solution à toutes les limites de l’Homme.
Un supplément à l’humain
L’homme, de façon générale, est le seul être capable de surpasser les autres espèces. Mais dans sa recherche constante d’évolution, il a besoin d’assistance pour aller plus vite, et a aussi besoin de se reposer après des tâches ardues. Aujourd’hui, l’Intelligence Artificielle est devenue omniprésente dans notre quotidien (montre connectée, console de jeux, ordinateur, téléphone Android, etc.).
C’est un complément à l’homme dans les tâches qu’il exécute ce qui lui permet de gagner un temps considérable en fonction de la tâche spécifique initiale. Dans tous les domaines, l’IA occupe une place de plus en plus importante et commence à devenir essentielle.
L’humain toujours indispensable
L’IA, à travers les appareils a beau être unique par sa vitesse d’exécution de tâches, et sa continuité dans la répétition, il est clair qu’elle nécessite l’assistance de l’homme. À titre d’exemple, un ordinateur cesse de fonctionner lorsque sa batterie est à plat. Il existe des tâches que seul l’être humain est en mesure d’accomplir. Il y a un donc un caractère de dépendance qui lie la machine à l’homme.
De plus, l’IA étant basée sur des calculs et des algorithmes, l’humain aura toujours sa place dans la prise de certaines décisions.
L’IA toujours seulement capable d’une suite de tâches
La machine est programmée pour une tâche spécifique. En effet, l’IA ne peut que reproduire de façon constante et rapide, le type de tâches pour lesquelles la machine a été programmée. Ainsi lorsqu’il est question de porter un jugement par rapport à une situation nouvelle, la limite de l’IA pointe le bout de son nez. L’IA, seulement capable d’une suite de tâches prédéfinies, ne parvient pas à se défaire de l’assistance humaine.
En effet, elle ne peut que reproduire de façon constante et rapide, le type de tâches pour lesquelles la machine a été programmée. Par exemple, dès que l’on imprime un document ici l’imprimante n’est programmée que pour retranscrire le nombre exact de pages que comportait le document d’origine, mais pas pour les agrafer. On voit donc que l’humain, aussi faillible qu’il puisse être, ne pourra jamais être remplacé par l’IA. La science évoluant constamment, seul l’avenir nous dira, jusqu’où les limites de l’IA seront repoussées.